Jacques Bonvin
Jacques Bonvin fut technicien dentiste. Ce valaisan pur sucre a quitté les gencives pour les planches… Mais, quelle guêpe l’a donc piqué? Une envie de scène, de démonstration et d’échange amoureux, simplement.
Nouvel humoriste du troisième âge, il écrit et joue le drame si drôle de la vieillesse pour le raconter à tous, même aux jeunes… Surtout aux jeunes!
Un physique passe-partout, une dégaine d’agriculteur mal équarri mais un esprit d’une extraordinaire drôlerie. C’est une mayonnaise qui prend, et ne retombe pas au fond du bol. Dans le fond, il en a eu du bol: que du bonheur, partout, tout le temps et de plus en plus. Il s’amuse de lui et de ses contemporains, de l’amour en fuite et enfui. De tout. Avec tact.
On ne l’aimera jamais assez car il est aimable dans tous les sens du terme.
Un parcours incroyable
Depuis sa retraite, Jacques Bonvin foule les planches des principaux festivals de Suisse romande (Morges-sous-Rire, Montreux Comedy, Maxi-Rire, Festival de Liège, Taroudant Festival au Maroc etc.), des cafés-théâtres et des grandes scènes (Le Paname à Paris, enregistré et vu sur France TV, Théâtre Le Baladin à Savièse, Théâtre de Marrens à Nyon, Théâtre de la Grenette à Vevey, etc.). Il s’est même payé l’Arena de Genève en première partie d’Anthony Kavanagh!